Pourquoi tu t'occupe de moi comme ça? [ADAM]

**Blair L.Abrams** ■ Messages : 18 ■ Date d'inscription : 21/06/2010

Dans la vie, j'ai eu le choix entre l'amour, la
drogue et la mort. J'ai choisi les deux premières
et c'est la troisième qui m'a choisi...

On ne choisit pas toujours ce qu’ont veut devenir, même si pourtant on se bat pour rester comme tous les autres normale, sans se donner de style, sans risquer sa vie. Mais la maladie nous rattrape si vite, si vite que personne la voit souffre de plus en plus. Pourtant Blair elle a tous tenté, elle s’est battus jusqu’aux bout, elle a tenue, elle à été forcé de remanger normalement, et voilà ou elle s’en trouve maintenant, une jeune demoiselle si belle, si normale. Mais pourtant cette maladie la complètement changé, sont caractère à été changé en un peine cinq mois, elle est devenue dure et froide, une manipulatrice, une perverse. Et en plus de ça, elle est tombé dans l’alcool et la drogue, impossible dans sortir quand on se trouve au plus bas de l’échelle de gravité x). En tous cas, personne ne savait vraiment que la jeune se droguais, sauf sont colocataire qui la surprenais souvent en train de la faire. Une piqure, rien de plus facile ou bien par le nez. Un léger cri la réveilla par un sursaut, ses yeux s’ouvrit comme des fins fils, la tête tournés vers la fenêtre, le soleil était la comme tous les jours. Des jeunes s’amusaient au bas, à s’arroser, les volets ouverts et la fenêtre grande ouverte.

Ses cheveux droit sur la tête, elle se frotta lentement les yeux, avant de tiré la couverture sur le coté, la jeune prit sont portable regarda sa tenue, si c’était convenable pour se montrer devant le jeune homme. Un short blanc et un haut assez large, c’est bon, avant de sortir elle prit sa brosse et se brossa les cheveux, qui redevient lisse comme tous les matins. Quelle chance avait telle d’avoir des cheveux comme cela. Alors la jeune ouvrit la porte de sa chambre, et se dirigea dans la salle principal ou se trouvais le salon et la cuisine, en une grande pièce. La salle de bain se trouvais à coté de la chambre du jeune donc en face. Alors elle marcha tranquillement vers la cuisine et regardât ce qu’il y avait au frigo, parfois on pouvais se demander si sa maladie ne revenais pas des fois, car une envie de manger tous et n’importe quoi revenais en elle. Mais heureusement elle arrivais à se retenir, e tupis de toute façon, elle n’avait plus le droit à l’erreur sinon, elle pouvais y laisser sa peau :s
Quand un bruit surgit elle laissa tomber un couteau, qui lui ouvrit légèrement le bras.

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Adam ouvrit lentement les yeux, comme toutes les nuits, il avait laissé la lumière de sa chambre allumée. Depuis qu'il était gosse, il ne pouvait pas dormir dans le noir total, ça lui rappelait trop son enfance, et surtout, la fameuse cave qu'il avait connu pendant si longtemps. Il faisait déjà jour, pour une fois, il avait bien dormi. Chose rare qui ne se produisait que quelques fois par mois. Le bras posé sur ses yeux, allongé sur le dos, il attendait. Rien en particulier, il attendait tout simplement. Peut-être qua sa colocataire était déjà levée, il n'en savait rien. Pour une raison qu'il ignorait encore, il ressentait un besoin oppressant de la protéger. Etrange, surtout venant de lui. Cet associable parlait tout naturellement avec elle, comme si c'était tout à fait normal. Souvent il se posait des questions tels que : « Mais qu'est-ce qu'il t'arrive ... », « Pourquoi tu fais ça ? ». C'était tout nouveau pour lui, jamais il n'avait ressenti un tel sentiment et pourtant, il était bien là. Lentement, il se redressa pour enfin se retrouver assis sur son lit. Sa chambre, il faut l'avouer, était vraiment en bordel. La seule chose rangée correctement, était sa guitare, le reste, il ne valait mieux pas en parler. Le jeune homme se mit debout et enfila rapidement un jean. Ben oui, il n'allait tout de même pas sortir en boxer si Blair était déjà réveillée. Oh lui ça ne le dérangeait pas, il s'en fichait pas mal qu'elle le voit à moitié nu, mais allez savoir pourquoi pour une fois, il se préoccupait des sentiments des autres. Ici, les autres n'étaient autre que la jeune demoiselle qui dormait à quelques mètres de lui.

Il se regarda pendant quelques secondes dans le miroir à côté de sa fenêtre. Ses cheveux étaient encore plus désordonnés que d'habitude. Mais cette désorganisation ne faisait que le rendre plus beau qu'il ne l'était déjà (oui, j'étais obligée >x<). Devait-il sortir torse nu ? Oh ben pourquoi pas, après tout, Blair en avait déjà vu plus d'un. Il essaya tant bien que mal d'aplatir sa tignasse, mais ça n'eut aucune effet. Toujours autant de corne. Et puis zut, il pouvait bien sortir comme il voulait. C'est donc comme il l'était là, qu'il poussa la porte de sa chambre. Malheureusement, la porte cogna la chaise qui était posée derrière, laissant échapper un bruit sourd qui raisonna dans l'appartement. Il prononça un léger « merde », presque pas audible. Presque instantanément après, une autre bruit se fit entendre. Un objet qui tombait au sol plus précisément. Adam releva sa tête pour enfin voir ce qu'il venait de se produire. D'après ce qu'il pouvait en déduire, Blair venait de s'ouvrir le bras par sa faute. Avec des yeux ronds comme des billes, il regarda la jeune femme pendant quelques secondes, analysant correctement la situation. Finalement, il marcha jusqu'à elle et se posta juste devant la demoiselle. Il prit le bras de l'intéressée et se mit à éponger la plaie avec un torchon.

« -Fais attention ! C'est pas possible d'être aussi maladroite, tu auras pût vraiment te faire mal. »

Dit-il avec une once d'inquiétude dans la voix.

**Blair L.Abrams** ■ Messages : 18 ■ Date d'inscription : 21/06/2010

Pourquoi tous le monde voulais la protéger pourtant elle ne avait vue des plus pires, maintenant plus grand-chose lui faisait peur, en effet après avoir eu cette maladie la jeune ne craignait plus rien. Juste de mourir, a cause de cette maladie qui revenais enfin qui essaimait de revenir en force dans sont corps. Mais la jeune Blair préférait vivre à fond sa vie et puis se soigner après, que passer toute sa vie enfermé dans une chambre blanche, allongé sur un lit blanc. Ou l’odeur est ceux des hôpitaux, et ou la BA il est presque impossible de sortir dehors pour s’amuser, pour respirer à pleins poumons l’air de la campagne. En gros tu meurt quand tu rentre dans l’hôpital, enfin c’ était un résonnement de la jeune demoiselle, c’était un point de vue, après est-ce vrai ou pas ?:s La jeune était dans la cuisine à chercher de la bouffe comme toujours, habillé d’un simple short blanc et d’un maillot large blanc avec quelques écritures en dorées, qui était écrit tous en anglais, et puis en pleins d’autres langue. Blair en connaissait seulement qu’une, c’était bien sur l’anglais, car elle avait étudié a fond seulement cette langue, les autres ne l’intéressait pas vraiment, en même temps cela servirais a quoi de parler une quarantaine de langues ? Rien à part faire durer des études pour rien au final. La jeune parlais très bien l’anglais, elle pouvait sortir tous un discourt en anglais, qui voulais bien dire ce qu’elle pensait. La jeune Blair avait commencé à apprendre l’anglais quand elle se trouvait dans sont lit ‘hôpital, cela lui faisait changé d’idée, même si travailler lui donnait une tache en plus. Elle préférait travailler que de souffrirai et en plus de ça avoir de plus en plus de mal en cour, vue que la jeune n’allait pas en cour, bloquer dans cette grande prison blanche. Un léger soupire sortie de sa bouche, quand ces souvenirs revenaient vers elle, ou plutôt vers sont cerveaux, qui enregistrais tous les moindres détails.

La jeune Blair Leighton Abras, cherchais désespérément de la nourriture, pour se nourrir, mais a croire qu’un piqueur était venue cette nuit, c’est quand elle ouvrit une porte qu’elle trouva ce qu’elle voulait, en poignant sont couteau, pour couper sont bout de pains, assez dure d’ailleurs, qu’elle dérapa une première fois, enfin ça arrive a tous le monde, il ne faut pas en faire tous un plat. Un mince sourire était sur sont visage, elle était perturbé de quelques choses, mais de quoi ? Avait t’elle des sentiments pour sont colocataire, qui lui était étrange depuis un moment. En effet il ne faillait pas nié, il est assez sexy même sont caractère de chien, il était juste parfaite. Mais alors pourquoi ne faisait t’elle pas le premier pas ? Tous simplement parce qu’elle avait l’impression de ne pas compter pour lui, il était toujours de la même expression. Pas un sourire, enfin rien, comme si Blair le dérangeais plus qu’autre chose. Voilà pourquoi dans l’appartement l’atmosphère était assez tendue, même après avoir avalé une bouteille de bière ou autre, la jeune à toujours l’impression qu’ont met tous sur elle, toutes les fautes. Elle laissa tomber sont couteau a cause d’un bruit assez sourd, qui la fit sursauter et donc lâcha le couteau, qui venait a la verticale sur la jeune, qui n’eu pas le temps de se décaler, et se fit une ouverture au niveau du bas. Et dans un fracas pas possible sont colocataire était déjà face à elle, à lui éponger le sang avec un chiffon. Et elle réentendait à chaque fois la même phrase ; elle répondit sèchement :

-Je sais que je suis maladroite on me la assez répété… Mais merci quand même.

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Adam s'étonnait lui-même. Pour une raison qu'il ignorait -encore une-, il s'inquiétait pour quelqu'un qui n'était pas lui. Oui, il était égoïste et pas qu'un peu. Les autres, il s'en fichait royalement, et pourtant, là ce n'était pas le cas. En relation humaine, il était complètement nul, il le savait bien. Les paroles qu'il avait dites à Blair, étaient certes un peu dur, mais c'était déjà un grand pas pour lui. Il n'avait même jamais pensé ressentir un tel sentiment. Le changement ne lui allait pas, il le savait, c'était pour cette raison, qu'il essayait de tout étouffer. Etouffer ces pensées absurdes qui tournaient dans sa tête creuse. Comme il le pensait, la demoiselle ne lui répondit pas le la meilleure façon qui soit : « Je sais que je suis maladroite on me la assez répété… Mais merci quand même. ». L'asiatique leva les yeux au ciel tout en continuant d'éponger la petite plaie. Encore une fois, il remarquait qu'il ne savait pas s'exprimer comme il le voulait. Il retira délicatement le torchon et regarda le résultat. En fait, ce n'était pas si catastrophique, juste une petite coupure qui allait vite cicatriser. Lui, en avait vu des pires, aussi, à force de se battre pour un oui ou pour un non ... Une vraie brute, voilà ce qu'Adam était depuis longtemps. Par chance, il savait contrôler sa force. Même quand il pétait vraiment les plombs, il savait parfaitement se contrôler comme il le voulait.

« -J'vais chercher un pansement bouges pas. »

Sur ces quelques mots, il se dirigea dans la salle de bain toute proche. Depuis quand s'occupait-il de la santé des autres ? Blair agissait bizarrement sur lui, et il le savait bien. Il savait bien qu'il n'était pas dans son état normal quand il se trouvait dans la même pièce qu'elle. Dans l'armoire à pharmacie, il prit une petite boîte de pansement. Par chance, ils en avaient. Il faut dire, qu'Adam en achetait toutes les semaines une nouvelle boîte. Même s'il ne s'en servait pas, il était prévoyant. Quelques secondes après avoir pris l'objet en question, il ressortit de la salle de bain pour aller se poster juste devant la jeune femme qui n'avait pas bougé de place. Du moins, si elle l'avait fait, il ne s'en était pas rendu compte. Délicatement, après avoir ouvert la boîte et prit un pansement, il le déposa sur la blessure de sa colocataire. Il avait essayé de ne pas y aller trop fort, pour ne pas risquer de lui faire mal, et heureusement, il semblait y être parvenu. Comme quoi, il pouvait faire preuve de gentillesse quand il le voulait. Oh, au fond de lui, il n'était pas la personne exécrable qu'il laissait voir aux yeux de tous. S'il n'avait pas connu une enfance comme il avait eu, il n'en serait pas là où il en est aujourd'hui. Sa vie aurait pris un tout autre tournant qu'elle avait prise.

« -Ça te fait mal ? »

Demanda-t-il avec un peu d'hésitation. Il n'était pas très sûr de lui, mais au moins, il prenait des nouvelles de la jeune femme. Il avait de la chance de ne pas être énervé le matin. Sinon, il est possible, qu'il n'aurait même pas pris la peine de s'intéresser à elle.

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